Cette semaine je t’ai concocté la playlist parfaite pour chiller à la plage, au bureau alors que les boss sont en vacances ou même au bord de ta piscine.
Il suffit de presser « play » et de se laisser bercer comme lui
Pour me suivre sur Soundcloud c’est par ICI.
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Cela faisait quelques temps que l’on me parlait du Festival Calvi on the Rocks et que l’on me disait à quel point c’était bien. Cette année l’occasion s’est présentée grâce à Absolut qui m’a proposé de partir 3 jours à la découverte du festival Corse.
Je suis donc parti dimanche matin aux aurores en direction de Bastia avec Margot et nous avons terminé la route jusqu’à Calvi en voiture avec Sébastien. Si vous planifiez de faire ce festival pensez à vous y prendre à l’avance car il y a très peu de vols directs vers Calvi.
Aussitôt arrivés nous nous sommes changés et nous avons pris le bateau pour la plage de Mar A Beach que la Villa Schweppes a investi pour l’occasion. De quoi boire, de la bonne musique et une eau turquoise chaude dans laquelle se baigner. La recette parfaite pour une après-midi réussie.
Pour rentrer de la plage nous avons emprunté le second moyen de transport disponible : Le 4X4
On a profité des couchés de soleil sur l’île de Beauté avant d’aller aux concerts.
J’ai fait porter un sombrero à Margot. Oui oui ! 
On a pris des douches « tongs » 
Nous avons profité de la mer en faisant des Salted water Shower (Gangster un peu hein?).
Nous avons assisté aux concerts
Nous sommes montés à Notre-Dame de la Serra pour admirer la vue sur la baie.
On a profité de l’eau chaude de la piscine. Retrouvez ce look ICI
Et nous avons pu profiter une dernière fois de la baie juste après le décollage pour Paris. 
Calvi on the Rocks est le festival parfait pour profiter du soleil et de la mer Corse tout en passant ses journées à écouter de la musique. C’était la première fois que je faisais un festival en bord de mer et j’y ai pris goût ! Next step : Le big Festival.
Je remercie Absolut de m’avoir permis de découvrir Calvi on the Rocks, ses plages et son ambiance folle et j’espère déjà pouvoir y retourner l’année prochaine !
Crédits photos : LPF et Roman Jehanno
Samedi dernier tout le gratin de l’athlétisme mondial s’est réuni au Stade de France pour la Diamond League. À cette occasion Omega chronométreur officiel de l’évènement nous a invité avec Maxime à nous mettre dans la peau d’Asafa Powell (en moins grand et moins musclé) pour courir un 100m dans les conditions d’une finale.
16h00 : Arrivée par l’entrée des joueurs dans le Stade de France. Moment nostalgie France 98. Impossible pour nous de ne pas prendre de photos et d’aller fouler la pelouse. Côté piste les organisateurs sont en train de régler les derniers préparatifs.
Tshirt CHMPGN, short et chaussures Nike pour moi et Tshirt American Apparel, Short Levi’s et Superstar pour Max.
16h15 : Direction le vestiaire pour se changer, nous découvrons nos tenues mettant bien en avant ma musculature plus que développée. Pareil pour Max, mais en mieux.
16h30 : Première foulée sur la piste, moment émotion. Un athlète est là pour nous échauffer sous un soleil de plomb. Talons-fesses, montées de genoux, foulées bondissantes, tout y passe.
17h15 : Après 30min d’échauffement on se met en place au bout de la piste. Le speaker du Stade donne notre nom au micro, la caméra nous tire le portrait, on se voit apparaitre sur les écrans géants du stade. Pression !
L’arbitre nous demande de nous mettre à nos marques. Le coup de pistolet retenti dans le stade et nous bondissons des starting blocks.
17h15 et 6,74 secondes : Maxime est en tête de la course, lui qui revient tout juste d’un an en Australie bondit comme un kangourou. Je le colle au fesses mais rien à faire, il est plus rapide.
17h15 et 12,20 secondes : Je suis en train de me dire que 100m c’est super long en fait.
17h15 et 13,48 secondes : Maxime passe la ligne d’arrivée en premier, je le suis de près (14.01)
17h15 et 30 secondes : Avec Max et l’équipe nous nous félicitons en prenant la pose devant le temps et malgré nos sourires on se dit tous qu’on a envie de mourrir. Maintenant douche et place aux athlètes.
18h15 : Les épreuves de la Diamond League commencent et nous prenons place dans les gradins. C’est au tour des vrais sportifs pro de concourir.
21h45 : On quitte nos sièges pour être au plus près de l’action pour le 100m. Une fois sur la piste on sent que la pression monte dans le stade. Les acteurs entre en scène, se place, puis le coup de feu retentit. Les bêtes sont lâchées. 9.81 secondes plus tard, Asafa Powell passe devant nous, suivi de près par Jimmy Vicaut (9.86) qui en profite pour faire tomber le record de France de Christophe Lemaitre.
22h20 : On remonte dans la navette qui nous ramène dans le centre de Paris.
Je remercie Omega de m’avoir permis de courir sur la piste emblématique du Stade de France à l’occasion de cette compétition. En tant qu’ancien sportif cela à fait remonter de vieilles sensations qui m’avaient manqué !
Photos LPF et Sébastien d’Halloy
Comme le blog a moins d’un an c’est la première fois que je poste un look en maillot de bain. D’autres seront à suivre dans les semaines qui viennent.
Je porte un Tshirt Palace, une montre Tissot, une paire de lunettes Smith, un short de bain et un sac de plage dans lequel je peux mettre toutes mes affaires de chez Brice.
Article réalisé en partenariat avec Brice
Le weekend dernier j’ai été invité au Festival Solidays. Une première pour moi qui découvrait par la même occasion l’hippodrome de Longchamp.
En arrivant sur le site on remarque tout de suite les grandes tentes et les manèges qui t’embarquent dans un univers très fête foraine qui n’est pas pour déplaire. L’endroit est grand et on peut se déplacer facilement entre les concerts (ce qui n’est pas le cas dans tous les festivals) et on peut bien sûr se poser n’importe où.
La programmation de cette année m’a permis entre autres de voir (ENFIN) IAM, de revoir les 2 fous de Die Antwoord. Le dimanche je suis revenu avec mes potes pour voir jouer Brodinski et flâner dans le festival pour écouter Fakear, Parov Stelar ou même Zebda (non, je n’ai pas tombé la chemise).
Le beau temps aidant, l’hippodrome s’est transformé le temps d’un weekend en « hippie land » complètement dépaysant.
Comme un festival ça se vit avec ces potes, vous retrouverez ci-dessous quelques photos de ces 2 jours avec eux.
